Le Pavillon de la danse

Sobre et ultra compact

Toutes les photos sont de © Patrice Morel

Les prescriptions scénographiques sont ici étroitement liées au geste architectural ; tout s’emboîte pour ne former qu’un tout. L’efficacité et la modernité des équipements scéniques sont les seuls facteurs contributifs qui confèrent à cet équipement une prise en main pratiquement immédiate. Le traitement acoustique n’est pas en reste puisque la dynamique des pratiques les plus extrêmes n’a quasiment aucune chance de nuire à cet environnement prestigieux. Citadins, dormez tranquilles ! Ici tout se passe à l’intérieur.

D’un point de vue global

Les plans de coupe sont éloquents : ils reflètent clairement les équilibres et le rapport entre les différents espaces de travail. Dès la première lecture, nous remarquons ce grand bloc salle, livré sans cadre de scène, qui absorbe à lui seul pratiquement la totalité de la volumétrie disponible. La situation est d’autant plus flagrante sur la coupe transversale. Les parois latérales, qui redéfinissent a priori l’espace scénique, viennent se confondre avec les parois extérieures du bâtiment. Cette organisation explique notamment le rôle primordial de la passerelle périphérique. Ce dégagement – de prime abord réservé à la technique – voit ses fonctionnalités accrues. Cette

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